Le risque de lymphœdème après cancer du sein a diminué avec les techniques actuelles de chirurgie et de radiothérapie mais peut concerner encore 20 % des femmes opérées.
En France, 60 000 nouvelles patientes sont traitées annuellement. Beaucoup d’entre elles développeront un lymphœdème et se rajouteront à celles qui, traitées précédemment, ont déjà un lymphœdème.
À l’issue de cette formation le stagiaire sera en capacité :
- de maîtriser les connaissances liées à la sémiologie, la physiopathologie et les traitements des cancers du sein ;
- de réaliser le traitement des séquelles vasculaires lymphatiques ;
- de construire et conduire un traitement de décongestion du lymphœdème ;
- de choisir les techniques de DLM et de bandages en fonction du bilan kinésithérapique pour personnaliser le soin ;
- de réaliser une prescription de matériel de bandage.